Imaginez... Vous poussez la porte d'un traiteur libanais. Ce n'est pas le premier que vous essayez mais celui-là semble différent.
Deux hommes derrière une multitude de plats prêts à dévorer.
L'un d'entre eux tend un petit gobelet de thé très chaud. Avant même d'avoir commandé, avant même d'avoir réfléchi au menu, il vous offre un délicieux thé.
Au choix, on peut se régaler avec sandwich ou si on est gourmand, si on a envie de tout goûter, vous pouvez composer une grande assiette avec tout un panel de mets libanais. Je me suis régalé avec
les falafels. J'ai bavé en croquant dans un sandwich de chawarma. Et j'ai souri en m'asseyant sur une chaise en plastique avec mon plateau. La décoration simple et pastel ressemble aux hommes qui
tiennent ce lieu.
Plusieurs types de menus vous attendent : menu sandwich pour 5.60 avec dessert et boisson, menu salade pour 6.30 ou menu plat pour 8.50.
C'est une adresse à retenir : Idem's au 87 rue Henri Barbusse à Clichy. Sachez tout de même que le thé n'est pas offert à tous, j'ai eu à chaque fois droit à un thé mais après moi, lors d'une
longue queue, d'autres clients n'avaient pas ce privilège. Si quelqu'un comprend pourquoi certains ont droit au thé et pas d'autres, je veux entendre ces explications.
ou l'ascension d'un homme d'affaire. Daniel Plainview commence dans un forage à chercher des pépites d'or et finit par découvrir une mine d'or : une source de pétrole. Il développe ses
talents et monte son entreprise.
A ses débuts, un de ses amis meurt en recevant un tuyau sur la tête et laisse son fils orphelin. De cette tragédie, Daniel Plainview en fait une force comme chaque difficulté dans sa vie. Cet
enfant deviendra son fils et son associé.
Le coeur de l'histoire se déroule avec l'installation d'un forage conseillé par un jeune garçon Paul sur le terrain de sa famille. Dans ce village, le développement économique va devoir faire
face aux croyances et à l'essor d'une secte dont le prophète n'est autre que le frère de Paul, Elie.
C'est une histoire de pouvoir, d'influence, de manipulation. Les acteurs sont impressionnants de justesse. L'histoire est racontée de telle façon qu'on se demande si ce n'est pas un Biopic. J'ai
toutefois, un petit reproche.. C'est long. Je ne veux pas dire qu'il y a des longueurs, mais c'est long plus de deux heures. A la fin, je me suis demandée si il n'aurait pas été judicieux
de concentrer le scénario soit sur la relation des pouvois et d'influence ou bien sur l'homme, self-made-man qui réussit sa carrière mais est terriblement seul. Le film parle de tout ça et en
parle bien. Alors mes reproches avec les jours qui s'écoulent se sont dissipés et il ne reste avec le temps que du positif sur ce film.
Mettre de préservatifs qu'on soit marié, pacsé, en couple ou célibataire en chaleur, dans tous les cas, ca protège du SIDA.
TOUS !
Bien sûr, la religion catholique a toujours voulu nier le côté animal de l'homme. Et par conséquence, le désir sexuel était limité à la reproduction. Cependant chaque acte sexuel n'est pas suivi de
fécondation. D'où l'idée de l'intervention divine. Mais toutes les fois, où Dieu nous laisse faire l'amour sans conséquence de fécondation, pourquoi l'homme devrait-il être irresponsable et prendre
le risque de tomber malade?
A croire que Dieu décide de tout, on rend l'homme irresponsable de ses propres actes. Tu fais l'amour parce que tu aimes. Alors ne contamine pas l'amour de ta vie. De même une femme a le choix
d'avoir un enfant... ou pas. C'est sa responsabilité de prendre les précautions nécessaires. Elle fait l'amour parce qu'elle aime cet homme et non parce que c'est un probable géniteur.
Je crois en Dieu mais pas du tout à une intervention divine, à des décisions d'un Dieu omnipotent. La seule phrase qui a conforté ma foi lors de mes doutes est DIEU EST AMOUR. Alors il ne dirait
jamais de contaminer l'homme ou la femme qu'on aime.
Charmé par des sorcières ou par Morrissey... A vous de choisir ! Dans mon cas, c'est par les deux ! Je vais assister au concert de Morrissey le 2 juin au grand Rex (avec une certaine fébrilité !
il faut l'avouer)
Imaginons un bol de céréales. Certain versent les céréales au fond du bol et les mangent simplement, sans rien de plus. D'autres versent du lait froid dessus et dégustent leur bol avec des céréales
légèrement craquantes.
Après il y a ceux qui préfèrent le lait chaud, à verser sur les céréales ou bien dans le bol vide. Dans ce cas-là, les céréales ramollissent.
Alors au final, quel est le meilleur? Céréales molles ou croustillantes ? Lait chaud ou froid? Bol vide ou rempli de lait avant de verser les céréales?
Pas de règles ! Grandes libertés de choix, de goût.
Plutot facile de démontrer la possibilité de discuter des goûts et des couleurs.
Dans le cas, plus délicat, de l'art, les émotions et le ressentiment entrent en jeu de façon plus évidente. Un film, un tableau, une musique essayent de prendre aux tripes pour nous émouvoir. Alors
selon le vécu de chacun, les réactions et les goûts sont divers et variés. Mais se situe alors le débat? Sur la qualité de l'oeuvre? Sur les volontés de l'artiste?
Situé à côté de la porte Saint-Denis, voici un des multiples traiteurs asiatiques de la capitale. Alors, pourquoi celui-là mérite qu'on en parle? Seul un plat m'a marqué et me fait revenir encore
et encore : le poulet thaïlandais. Avec sa sauce de couleur rose pâle, un peu de piment et du riz cantonais, chaque bouchée est un délice. Côté vapeur, ce n'est pas très original, ni exceptionnel.
Pour un menu vapeur délicieux... faudra patienter pour le découvrir dans un prochain post de ce blog...
Avec différents menus et prix, le restaurant propose des cartes de fidélités pour 10 menus achetés un offert. Un grand classique marketing pour fidéliser les clients. Moi, ce qui m'a fait revenir,
c'est ce fameux poulet thaïlandais... Faudrait goûter les autres plats pour être exhaustif. Mais un coup de coeur, ca ne se commande pas. Par contre, un poulet thaïlandais, j'en commanderais encore
et encore
Restaurant Tong-Fan
5 bd de bonne nouvelle et 102 rue de Cléry 75002 Paris
Ce restaurant ne paye pas de mine. Situé au 139 avenue Parmentier, près de l'hôpital St Louis, il ne s'impose pas par sa décoration ou une dévanture attirante.
MAIS ne fiez pas aux apparences. Car à l'intérieur, on peut se régaler. Pour un menu à 20 euros, j'ai pu déguster foie gras, saumon à l'oseille et chocolat liégeois ; et mon compagnon, une tourte
aux fruits de mer, du canard à la sauce aux cassis et une charlotte aux poires sur sa sauce au chocolat. Un menu pas cher pour la qualité des plats. Bien sûr les boissons ne sont pas comprises.
Les plats principaux étaient accompagnés de plusieurs légumes et d'un féculent. On s'en est mis plein la panse. La peau du ventre était bien tendue.
Alors que la présentation des assiettes et le contenu des bouchées nous régalaient, la décoration était vraiment moche. Si vous n'êtes pas de gros mangeur, on peut avoir deux plats (entrée + plat
ou plat + dessert) pour 15 euros. Ce restaurant ne recevra pas la palme du design mais le césar du bon plat.