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16 février 2017 4 16 /02 /février /2017 17:51

Le musée des arts ludiques propose du 14 octobre 2016 au 5 mars 2017 une exposition sur les dessins animés des studios Disney et la caractéristique du mouvement.

Les premières minutes, je vois avec émotion les dessins de 1931 avec Mickey. Le premier dessin animé créé par Walt Disney et son équipe est un court métrage de Mickey conduisant un train. Déjà et tout de suite du mouvement, Mickey siffle, danse et le train qui lui répond. Déjà de la musique. Les studios Disney ont toujours voulu être à l'avant garde de ce nouvel art.

En 1935, Walt Disney écrit : « Je sens que nous ne pouvons assurément pas faire de choses merveilleuses, basées sur le réel, à moins de connaître d’abord le réel ».

Dans chacun de ses dessins animés, il demande à obtenir un réalisme qui permet à tous les spectateurs d'y croire sans remettre en cause les propositions fantastiques. Par exemple, pour Bambi, pour les 101 Dalmatiens, pour le roi Lion, l'équipe de dessinateurs a vu les animaux en vrai. Ils ont réalisé plusieurs croquis pour s'approprier les positions, les attitudes et les caractéristiques des animaux. Cela donne un rendu des plus réalistes.

Je passe de salle en salle découvrant les différents dessins animés à travers le temps et les avancées technologiques. J'avoue que mon dessin animé est et restera "la Belle et la Bête". Alors j'ai ressenti des frissons dans cette salle. En plus, ils ont fait un focus sur la scène du bal. C'était fabuleux de découvrir le travail derrière cette mythique. J'ai aussi énormément aimé le film Zootopie et dans l'exposition, il est expliqué le travail de création d'animaux avec des aspects humains les plus crédibles possibles.

L'exposition se finit sur le dernier film sorti Vaiana, avec finalement peu d'information sur ce dernier film, qui, il faut l'avouer, est vraiment dans la lignée des films Disney classiques. Ensuite, un montage d'extraits des nombreux Disney est projeté, une jolie conclusion.

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21 octobre 2016 5 21 /10 /octobre /2016 11:26

Je ne connaissais pas ce peintre. Masi j'ai pris des billets coupe-file pour deux expositions Rembrandt et Fantin-Latour.

J'ai bêtement imaginé que le peintre était plus ancien. En fait, Fantin-Latour date du XIXè siècle. L'exposition est intéressante, bien présentée. Chaque tableau a un petit panneau d'explications. On découvre des tableaux de nature morte (beaucoup de fleurs et autres plantes) car ces tableaux étaient réclamés par des clients britanniques et faisaient rentrer des sous. Sinon il a eu une certaine réputation grâce à ses grands tableaux de plusieurs artistes (écrivains ou peintres). Mais j'ai été marquée par ses autoportraits. En fait on sent la différence entre les autoportraits de jeunesse et ceux où il est plus âgé. Ceux de la jeunesse rappellent les selfies d'aujourd'hui avec un certain nombrilisme. Alors que plus vieux, il exprime une certaine sérénité. J'ai même préféré les œuvres au crayon que les peintures. Il a aussi une période où il s'est éloigné du réalisme pour s'inspirer de musique ou de mythologie et être plus créatif. On découvre dans l'exposition les travaux préalables au tableau final. J'ai apprécié comparer l'évolution du tableau dans son esprit.

Un exposition bien faite et très intéressante pour découvrir un peintre plutôt classique par rapport au mouvement impressionniste qui se développait à la même période.

Au musée du Luxembourg
Du 14 septembre 2016 au 14 février 2017

Auto-protrait de Fantin-Latour

Auto-protrait de Fantin-Latour

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28 janvier 2016 4 28 /01 /janvier /2016 19:24

Je regarde beaucoup (peut-être trop) de séries américaines. Et régulièrement lorsque des jeunes femmes, personnages de série, préparent leur mariage, on apprend que, petites filles, elles ont imaginé leur mariage parfait. Lors du mariage de Emily et Ross à Londres dans la série Friends, Monica explique à son frère qu'il doit comprendre le stress et les exigences de sa fiancée parce qu'elle attend ce jour depuis toute petite. Elle illustre ses propos en racontant que, petite fille, Monica mettait sur sa tête une taie d'oreiller pour s'imaginer en mariée. Je pourrais multiplier les exemples de personnages féminins de série américaine qui parlent d'un rêve de petite fille.

Est-ce que cela ne concerne que les filles américaines ou anglaises? Honnêtement, j'ai aujourd'hui 33 ans et je n'avais jamais imaginé, ni pensé comment serait mon mariage. Quand je dis "jamais", je n'exagère même pas. Je n'ai commencé à y penser qu'après avoir assisté au mariage de ma cousine l'année dernière. Parmi mes amies, les couples sont pacsés et non mariés. A l'école primaire, je jouais à l'Agence Tous Risques dans la cour de récré. Au collège, je rêvais d'avoir un amoureux et plein d'amants. Je voulais des expériences mais tout restait virtuel. Puis à l'âge de 16 ans, mes parents ont divorcé. Pour le coup, l'institution du mariage en a pris un coup, face à la douleur de ma mère. Je ne vois quand j'aurais pu rêver du mariage parfait.

J'ai un chéri depuis 8 ans et j'avoue que maintenant cela m'arrive d'y penser. Comme cette hypothèse était si lointaine et improbable, je pouvais rêver de choses impossibles : un corps plus maigre et mieux foutu pour ressembler à une princesse dans ma robe de mariée, de la musique avec des stars (Bruno Mars ou Stevie Wonder), des lieux improbables avec des repas surprenants (pique-nique en plein-air ou à l'inverse un château avec des serveurs et de la haute gastronomie)... Mais finalement ce qui me parait le plus impossible, c'est d'avoir des réactions d'émotion de mon fiancée ou de ma mère en me voyant en robe de mariée. Et dans les séries américaines, la mère de la mariée apparaît toujours très émue de voir sa fille en robe de mariée. Et si après avoir préparé mon mariage, je ne pouvais pas vivre ces toutes petites minutes d'émotion avec elle, j'en serais déchirée. Cela me fait tellement peur que j'en viens à penser qu'un mariage en tête avec mon chéri sans personne serait moins risqué.

Salon du mariage 30 et 31 janvier 2016 à la Porte de Versailles - Paris

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25 septembre 2015 5 25 /09 /septembre /2015 10:51

Du 16 septembre 2015 au 24 janvier 2016, le musée du Luxembourg propose l'exposition "Fragonnard amoureux, Galant et libertin". Les tableaux datent de quelques années avant la révolution française, au moment des romans "La Nouvelle Héloïse" et "Liaisons dangereuses". Nous avons vu cette exposition un jeudi après-midi et il y avait vraiment du monde. L'exposition présente clairement l'époque et la personnalité de Fragonnard. On voit aussi à quel point les moeurs ont évolué en deux siècles. Il y a quelques tableaux suggestifs et d'autres coquins. Mais ils sont exécutés avec finesse et beauté. Les visages et les corps sont sublimés. J'ai vraiment apprécié cette exposition. Par contre, à la fin, j'aurais volontiers acheté une affiche d'un des tableaux. Mais le choix était très restreint .Il y avait de nombreux livres sur des sujets très divers. Un peu déçu par la boutique.

Exposition Fragonnard amoureux

Exposition Fragonnard amoureux

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15 août 2015 6 15 /08 /août /2015 20:38

Je ne connaissais pas la Pinacothèque de Paris, située derrière la Madeleine. A l'occasion d'une exposition de peintres flamands, nous, ma mère et moi, avons passé la porte de la Pinacothèque de Paris. De grands panneaux explicatifs nous détaillaient l'époque historique et artistique présentée dans cette exposition. Nous avons vu une peinture juste superbe de Rubens. Pour le reste, nous avons de nombreux peintres flamands. J'ai trouvé cela beau mais un peu court. Il y avait une vidéo assez longue et pas de très bonne qualité (sur la forme) sur Rubens. Peu de places assises et pas un grand intérêt de rester debout. Je semble assez critique pourtant de nombreux tableaux de flamands m'ont plu. Notamment les portraits que j'apprécie particulièrement.

Le billet d'entrée permettait de voir également la collection permanente. Là j'avoue que j'ai été plus que sceptique. Les tableaux de toutes les époques étaient mélangés, sans cohérence dans la présentation. On passait de Wahrol à un classique. Et puis je ne comprends rien à l'art contemporain. Une toile verte avec un trou s'appelle "le trou", cela ne me parle pas du tout. Comme le dernier tableau aussi intitulé "traits dans 4 sens". Il aurait pu être peint par un gamin ca aurait donné le même rendu. Je ne ressens pas d'émotion, ni de beauté face à l'art contemporain. J'ai une préférence pour la peinture classique et les peintres flamands de l'exposition étaient d'une beauté touchante et émouvante.

De Rubens à Van Dyck du 10 juillet au 4 octobre 2015 à la Pinacothèque de Paris, 8 rue Vignon 75009 Paris

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14 août 2015 5 14 /08 /août /2015 20:12

J'ai proposé à mes deux neveux d'aller voir l'exposition Chiens et Chats présentée à la Villette. Il est indiqué que l'exposition est conseillée à partir de 6 ans. Mes neveux avaient 6 et 9 ans. Dès qu'on se trouve à l'étage on découvre les squelettes d'un chien et d'un chat. Il y avait du monde dans l'exposition. Il y avait clairement des enfants plus jeunes que 6 ans. Mais les parents étaient là et cela donnait l'impression que c'était plus eux qui en profitaient.

Dans le premier espace, on découvrait les déplacements de ces animaux à 4 pattes. On visualisait la hauteur des bonds du chat, la vitesse lors de slalom par des animations et des vidéos. Le deuxième espace présentait les émotions de l'animal, les comportements pour communiquer... Tout est très interactif. On passe d'un jeu à l'autre. Dans le dernier espace il y a un quiz, un jeu "où est Charlie?", des représentations des chiens et des chats célèbres. La Villette propose un cahier d'activités, payant, pour continuer à apprendre et développer son intérêt pour ses animaux. C'est une exposition faite pour les enfants où les parents s'amusent aussi.

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13 août 2015 4 13 /08 /août /2015 19:48

Une amie me propose d'aller voir l'exposition "l'Inca et le Conquistador" proposée au musée du Quai Branly jusqu'au 20 septembre 2015. Et j'ai un peu hésité, mais je me suis dit que je n'y connaissais rien et que je ne pourrais qu'apprendre des choses intéressantes. En plus, je n'étais jamais allée au Musée du Quai Branly.

L'exposition est construite de façon claire et très simple à suivre. Sur un mur on suit l'histoire de l'inca Atahualpa avec des références sur la civilisation inca. Sur le mur en face, on suit la conquête espagnole en suivant l'histoire de la figure de Francisco Pizarro. Ensuite dans une salle plus large, on nous raconte la rencontre des deux hommes et l'affrontement qui a eu lieu. Les deux narrations continuent. Puis, on va voir les conséquences de ce combat. Atahualpa va tenter de payer une rançon pour être libéré mais va être assassiné. Pizarro va instaurer son règne en accord avec Charles Quint mais à sa mort, plusieurs familles espagnoles vont se disputer le pouvoir.

L'exposition montre à la fois des jarres, des bijoux et des armes incas. J'ai eu un grand intérêt pour les cartes et leurs évolutions. Il y a beaucoup de panneaux à lire, donc je ne conseillerais pas forcément pour les plus petits. D'ailleurs, il n'y en avait pas lors de notre visite. On apprend beaucoup de choses et cela m'a donné envie de voir un documentaire sur une autre civilisation, les Mayas que j'ai pu voir sur France 5.

Ensuite on a promené dans le musée du Quai Branly. Il est organisé par continent. On peut y trouver des vêtements, des armes, des bijoux ou encore des statues ou des objets de culte. Il n'est pas aisé de se repérer. Nous n'avons pas été très attentives mais nous avons pensé revenir pour découvrir des civilisations lointaines.

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6 mai 2015 3 06 /05 /mai /2015 10:32

Une conférence sur les comédies musicales américaines est proposée à la Philharmonie de Paris par Patrick Niedo. Pendant deux heures, il a évoqué l'histoire des comédies musicales américaines.

Les premiers spectacles étaient proposés dans la langue des migrants (yiddish, néerlandais ou italien par exemple). Les premiers lieux étaient en bois et brûlaient facilement. On se situe dans les années 1830-50. Dans la deuxième partie du XIXème siècle, commencent des constructions en pierre d'établissement plus grand. Dès 1830, il existe des spectacles itinérants dans des versions vaudevilles où se mêlent plusieurs troupes et donc plusieurs arts (cirque, poésie, danse...) La guerre de sécession entre 1861 et 1865 va accélérer le développement du chemin de fer, ce qui va permettre aux troupes de partir en tournée. Le XIX ème siècle représente une période d'extravagances avec plus de 200 personnes sur scène. En 1866, le spectacle intitulé "The Black Crook" réunit plus d'une centaine de danseurs. C'est un spectacle sans histoire avec des girls et des bribes de spectacle. C'est seulement à la fin du XIXème siècle qu'on commence à écrire des spectacles en anglais. Sur la 14ème rue se sont installés les premiers théâtres respectables où les femmes peuvent y assister (sans trop de nus par exemple). Oscar Hammerstein, fabricant de cigares, a construit en 1895 un opéra de 3500 places, l'Olympia, situé sur Time Square. Le quartier des théâtres va prendre le nom de l'avenue de Broadway, ancien chemin indien qui est en diagonale et coupe la 7ème avenue sur Time Square.

Les comédies musicales américaines se sont inspirés des opérettes anglaises et françaises, comme les oeuvres de Offenbach ou celles de Gilbert et Sullivan. En avril 1915, Jérôme Kern va adapter des opérettes anglaises pour le public américain. Richard Rodgers a écrit une cinquantaine de spectacles. Burt Williams est le premier chanteur noir à monter sur scène avec l'impulsion de Florian Ziegfeld. En 1927, Showboat est créé par le duo Jérôme Kern et Oscar Hammerstein, le petit fils du constructeur de l'Olympia. Florian Ziegfeld est le producteur de ce spectacle. Une comédie musicale est née, une pièce de théâtre en musique où les chansons font avancer l'action ou expliquent la psychologie du personnage. D'autres spectacles verront le jour, notamment Porgy and Bess, par Gerschwin en 1935. Mais la dépression qui fait suite à la crise de 1929 et la concurrence du cinéma rendent la vie difficile à cette nouvelle forme de spectacle. En 1936-37, le chorégraphe George Balanchine va travailler avec Rodgers et Hart. C'est la première fois qu'un ballet est intégré.

L'âge d'or des comédies musicales débute avec Oklahoma ! en 1943, spectacle qui ose utiliser une voix en off pour la première fois. L'histoire se base sur un couple principal sérieux et un couple secondaire plus comique et plus léger. Carousel en 1945 est un gros succès américain et représente une consolation pour la mort de Roosevelt. Le pique de l'âge se situe avec trois spectacles : My fair lady, West Side Story et La Mélodie du Bonheur. Dans West Side Story, la chorégraphie fait avancer l’action, un fait unique dans l’histoire des comédies musicales (scène d’ouverture). La conclusion de l’âge d’or se fait avec trois spectacles : Hello Dolly, Funny Girl et Un violon sur le toit. Ces années 1960 sont marquées par les chorégraphes Jérôme Robbins et Bob Fosse. Hair en 1967-68 avec un style plus rock est monté off Broadway et contient pour la première fois une scène de nu. Après l’année 1975, année de Chicago et de Chorus Line, les créations américaines se font plus rares. C’est en Angleterre dans les années 1980 que de nouvelles créations vont apparaître avec Cats ou Les Misérables Le Fantôme de l’Opéra ou Miss Saigon par exemple. Deux grands noms vont marquer cette époque : Andrew Lloyd Weber et Cameron Macintosh. Les années 1990 seront marquées par l’arrivée des productions Disney : La Belle et la Bête, Le roi Lion, la petite sirène, Aladin. De nos jours, l’histoire des comédies musicales est marquée par des spectacles comme Once, l’éveil du Printemps, American idiot, Rent de Jonathan Larsen. Patrick Niedo finit sa conférence avec un pari sur le prix Pulitzer 2016 pour Hamilton.

Conférence vu à la Philharmonie de Paris dans les cycles de Culture Musicale

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15 avril 2015 3 15 /04 /avril /2015 15:37

La Philiharmonie de Paris propose un cycle de culture musicale intitulé "Toutes les Musiques". En fait, je suis allée sur le site de la philharmonie de Paris, car je cherchais un concert classique, et en consultant l'agenda du jour et je vois ce thème de Negro spiritual et Gospel. Je n'avais pas réservé, mais j'ai pu sans problème prendre une place au dernier moment. Nous étions au départ une quinzaine dans la salle, quelques retardaires nous ont rejoint et nous étions à peine vingt à la fin.

La conférence était proposée par Noël Balen. Il est l'auteur d'un livre sur l'histoire du negro spiritual et du gospel. Alors il aurait pu nous parler de cette musique pendant des heures et nous passionner. Il nous a présenté l'histoire de cette musique sacrée de l'esclavage à nos jours. En nous faisant écouter des voix, des tubes, des quartets et des chansons plus modernes. C'est intéressant. Je n'ai pas pris de notes pendant son exposé, pourtant j'aurais bien noté quelques grands noms pour écouter d'autres extraits.

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22 mars 2015 7 22 /03 /mars /2015 20:37

La nouvelle exposition du Musée de l'art ludique est consacrée au studio Aardman. C'est la première exposition au monde consacrée à ce célèbre studio britannique. J'avais envie de la voir parce que j'aime beaucoup les films de Wallace et Gromit et le film Chicken Run mais je ne connais pas les autres œuvres de ce studio. J'y suis allée avec mon frère et son fils aîné. Ils connaissaient le film sur les pirates et le personnage de Shaun le Mouton.

L'exposition montre les esquisses, les recherches de personnage mais surtout les décors qui ont utilisés pour les films. Les dessinateurs tâtonnent sur de nombreux dessins avant de se décider sur l'aspect final d'un personnage. On apprend beaucoup à la fois sur le processus créatif mais aussi sur la minutie des créateurs de film en stop motion. Quand on voit les décors, on admire les détails des objets et des personnages. On découvre aussi des courts-métrages vraiment impressionnants.

Après l'univers de Marvel, les studios Ghibli ou les studios Pixar, l'Art ludique, encore une fois, valorise l'art du dessin, du dessin animé et des films qui en découlent. C'est intéressant et enrichissant. J'ai malheureusement raté les expositions sur Ghibli et Pixar, mais j'ai adoré l'exposition sur Marvel et Aardman.

Plus d'informations sur le site du Musée de l'art ludique

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