Antoine est en soirée avec des amis comédiens, et bien qu'il répète toutes les cinq minutes qu'il doit partir, il n'arrive pas à partir.
Car partir, c'est quitter le public, c'est oublier les siens. Et Antoine n'oublie pas.
Il se souvient de ses pères majestueux : les comédiens du passé.
A travers une introspection, Antoine va rendre hommage à l'âge d'or du cinéma français et nous faire rire.
Grand honneur de l'honneur de l'avoir interviewé :
Antoine Duléry fait son cinéma au théâtre
Festival OFF 2013 du 6 au 28 juillet à 21h au théâtre du Chêne Noir.
Les Pompières-poétesses représentent le nom du spectacle, de la troupe et d'un concept. L'idée première est de faire entendre et découvrir la poésie au plus grand nombre. Un duo de pompières peut prendre place n'importe où et réciter des vers.
Samedi 22 juin 2013 a eu lieu une représentation au centre européen de la poésie d'Avignon. Cela a été l'occasion d'interviewer le metteur en scène Romain Puyuelo :
J'avais des attentes pour ce spectacle. Elles ont été comblées. Mais j'ai eu aussi quelques surprises, notamment en entendant des auteurs très différents et d'autres auteurs qui m'étaient inconnus. A la fin de la représentation, j'ai rencontré le duo de comédiennes Juliette Allauzen et Emilie Chevrillon :
Les pompières-poétesses
Du 8 au 18 juillet à 13h30 dans le centre européen de la poésie d'Avignon dans le cadre du Festival OFF
"Une femme seule", "Le viol", "Mama Togny", "Moi Ulrike je crie" : ces monologues nous entraînent dans le monde de la parole brutale et tragique de femmes brimées, cloîtrées ou encore violées.
Nombreuses sont celles qui, au quotidien, vivent l'enfer du machisme et n'ont parfois pas d'autre choix que de s'oublier pour oublier l'inacceptable.
Dans un cercle de lumière elles y apporteront leurs joies, leurs souffrances, leurs frustrations. Deux hommes seront présents, tantôt protagonistes tantôt observateurs. La mise en scène est dépouillée dans un décor simple et minimaliste.
* Interprétation : Véronique Alla, Fariza Boucena, Nadine Couderc, Danièle Rodriguez, Nicolas Barrière, Christian Simonetta.
"Rhinocéros" recrée un microcosme humain avec ses treize personnages, ses dialogues entrecroisés, ses différents lieux, reflétant ainsi notre société.
Une épidémie de rhinocérite progresse. Au fur et à mesure chacun se transforme. Seul Bérenger réagit humainement, s'oppose, se révolte et décide de ne pas capituler.
Le théâtre de l'Autre Scène présente pour la deuxième année cette pièce emblématique du théâtre de l'absurde afin de dénoncer la montée des régimes totalitaires et comment la foule suit sans résistance intellectuelle.
* Interprétation : Véronique Alla, Marjorie Audibert, Nicolas Barrière, Christiane Bertrand , Pierre Chalaron, Carole Guidotti, Claude Hennequin, Simone Hiely, Jean-Marc Robert , Fabrice Scaramelli, Evelyn Secchiaroli , Corinne Zibetti.
* Mise en scène : Pascal Joumier
* Direction artistique : René Pandelon
* Création lumière : Fabrice Ranchon
* Régie lumière : Jeanne-Marie Verhaeghe
* Régie plateau : Murielle Culmet
* Accueil public : Pierre Helly
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Le Théâtre de l'Autre Scène est une compagnie amateur née en 1989 à l'hôpital de Montfavet, à l'initiative du Docteur Pandelon, ayant pour projet de réunir toute personne intéressée par la création artistique.
Dans une ville qui pourrait être Naples. Un de ces étés où l'on ne respire pas. Cette ville transpire la mort, le sexe, le crime. Un coup de feu.
Pourtant, on jurerait y voir rêve, amour et musique... Pas n’importe quelle musique, celle d’Elvis. Ici, on rêve de Cadillac, de veste en peau de serpent, et d’un ailleurs, quel qu’il soit.
Une nuit. Une histoire de famille, d’amour, de chair, un curieux passé qui se ressasse à grands coups de flashs back. Cette nuit-là, un étranger va venir rompre cette spirale, et croyez-moi : des nuits comme celle qui commence, il ne faut pas trainer là.
« On est aspiré dans cet univers sombre et pourtant, ça n'a rien de lugubre, c'est cru, brutal et sensuel, cela devient même poétique et touchant. »
La Théâtrothèque
Ecoutez l'interview de Magalie Lopez et Adrien Galaup enregistrée le 11/06/13 :
* Interprétation : Cyril Dauphin, Cédric Guerri, Benoît Hau, Magalie Lopez, Benjamin Meneghini, Rose-Hélène Michon * Musique : Valentin Andreo, Sébastien Haby * Mise en scène et scénographie : Adrien Galaup * Régie lumière : Franck Lopez * Diffusion : Avril Kirchhoffer
Dans la ville de Gloucester, Massachussetts, le professeur Jacob Brackish engage Kathleen Hogan comme employée de maison.
La rencontre de ces deux solitudes va provoquer un affrontement drôle et acerbe qui fera tomber les masques et révèlera que les plus beaux accomplissements arrivent parfois lorsqu’on a perdu tout espoir.
Après La Paix du Ménage de Maupassant et L’Invitation à la Valse de Dumas, succès Avignon 2010 et 2011, la compagnie Calliopé Comédie s’enrichit d’un nouveau pensionnaire en la personne de Jean-Claude Bouillon, pour présenter l’une des plus belles pièces d’Israël Horovitz qui transmet avec force et humour un grand message d’humanité.
Ecoutez l'interview de la comédienne Nathalie Newman :
* Interprétation : Jean-Claude Bouillon, Nathalie Newman * Mise en scène : Caroline Darnay * Scénographie : Caroline Mexme * Création sonore : Michel Winogradoff * Création lumières : Michel Cabrera * Costumes : Monika Mucha * Régie : Maryline Cabrera
Petruccio, gentilhomme désargenté, accompagne son ami Hortensio à Padoue pour le voir épouser Bianca, jeune fille très courtisée. Mais le père de la belle, le riche Baptista, a juré de ne la marier qu’après avoir casé l’aînée, Catarina, harpie invétérée dont les paroles de fiel éloignent tout honnête homme.
Prêt à tous les défis, dont celui de redorer son blason, mais aussi par amitié pour Hortensio, le valeureux Petruchio se met en devoir d’épouser la mégère et de la dresser par tous les moyens.
Ecoutez l'interview enregistrée pendant la conférence de presse de la Fabrik théatre le 11/06/13 :
* Interprétation : Jean Bard, Mehdi Benabdelouhab, Maud Curassier, Valeria Emanuele, Laurence Landra, Pablo Facundo Melillo, Grégory Nardella * Musique : Adil Kaced * Mise en scène : Mehdi Benabdelouhab,
assisté de Sylvia Chemoil * Direction choeurs : Sandra Cotronei * Costumes : Sonia Sivel * Décor, masques : Andrea Cavarra
* Régie : Gabriel Bosc * Diffusion et production : Azzedine Bououdène
Viva Forever est une comédie musicale créée en s'appuyant sur les chansons des Spice girls. Le spectacle est écrit par Jennifer Saunders, connue pour avoir joué Edina Monsoon dans Absolument Fabuleux.
L'histoire de la comédie musicale n'est pas celle du girls band des années 1990. Non c'est l'histoire d'un groupe de quatre filles qui participe à une télé-réalité dans le style X Factor. Le décor de la salle est simple et en même temps très complexe. Sur les côtés des téléviseurs pour donner l'ambiance de la télé-réalité, sur scène un plateau tournant pour passer de la télé au bateau où vit la mère de Viva. Viva, je ne vous ai pas dit c'est le personnage principal, une des filles du groupe à qui on propose de finir la télé-réalité en solo.
Le spectacle commence par le plus célèbre titre des Spice Girls : Wannabe. Cela a tout de suite mis une grande ambiance dans la salle. L'histoire est simple. Mais avec des quelques rebondissements et des personnages secondaires attachants et drôles. On passe une super soirée. J'ai chanté ou murmuré tous les morceaux. J'ai été étonnée d'entendre une chanson solo de Geri Halliwell :look at me.Le final est énorme. Tout le public est debout, on chante, on applaudit, on refait la chorégraphie de Stop.
En achetant ma place, je pensais que je n'allais pas aimer, que j'allais trouver l'ensemble un peu trop gnangnan, trop cucul. Finalement, l'ensemble de la soirée m'a plu. L'adaptation des chansons avec des voix graves de femme ou des voix d'homme est très bien menée. Et surtout c'est très agréable que toutes les chansons s'intègrent dans l'histoire comme si elles avaient été spécialement écrites pour le spectacle. Ce sont des chansons simples pop et entraînantes.
Viva Forever au Piccadilly theatre de Londres jusqu'au 29 juin 2013
Deux représentations : Samedi 13 à 20h et dimanche 14 avril à 16h au théâtre du Balcon
L'une des plus anciennes prisons de France a fermé ses portes en Avignon en 2003 et voilà que l'un des grands groupe hôtelier
mondial décide de la transformer en hôtel 5*****. C'est à partir de ce fait divers cocasse que la Compagnie a imaginé un spectacle original « DROIT DANS LE MUR ».
Abordant tour à tour le problème du Mal logement, des sans abris, mais aussi celui des
conditions de détentions de nos contemporains. C'est une plongée en apnée dans la misère humaine, en affirmant notre volonté de regarder autrement tous les indigents, les détenus, les sans
voix…
Ce spectacle est soutenu par la Fondation Abbé Pierre, l'Association Mémoire, Axiome.
Avant-première : Mardi 9 avril 2013 - 15h / Théâtre Toursky (Marseille)
dans le cadre du Rapport au mal-logement 2013 de la Fondation Abbé Pierre.
Ce spectacle s'inspire de sources multiples. Entre fiction et réel, entre une langue poétique, des témoignages, des
prises de paroles, des photos... Des chemins de traverses, en passant par la poésie, l'imagination, l'univers
médiatique. Flot continu d'informations ou d'affirmations plus ou moins erronées, banalisation des drames contemporains
qui pour être vus et revus dans les médias paraissent peu à peu appartenir à la fiction. Les grandes idées passées au
lessivage de la société spectacle. La scénographie représente un labyrinthe. Ce choix permet d'exprimer toutes les formes d'enfermements. Il symbolise l'âme humaine dans toute sa complexité.
Mise en scène : Serge Barbuscia Avec : Aïni Iften, Elsa Stirnemann, Laurent Ziveri
Ecoutez l'interview de Serge Barbuscia, auteur et metteur en scène de Droit dans le mur
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-une lecture à la librairie La Mémoire du Monde, le vendredi 29 mars 2013 à 19h : Balavoine vaut mieux que Beethoven.
-Le 4 avril, une lecture performance intitulée "Où sont les femmes ?". Trois comédiennes parlent de leur passion pour un artiste dit "populaire". Avec ses mots, Boris Crack parle de l'art, des
émotions et de l'impact d'une chanson sur leur vie.